À la bordure entre la rive et le lac [libre]

Rémus marchait dans le parc alors que la rosé du matin n'avait pas encore eut lieux et que la lune disparaissait au loin dernière une haute colline surplonbant une vaste pleine d'un côté et la forêt interdite de l'autre côté.
Contrairement à l'habituel promenade sous la cape d'invisibilité accompagné de Sirius, James et Peter le soir de l'arriver à Poudlard, le lycantrope avait préféret partir seul le lendemain matin très tôt, pour se promener dans le parc et pour pensé à sa vie, chose qui lui arrivé plutôt souvant en ses momant là.
Lorsque l'automne prenait la place de l'été, la vue sur le lac était manifique. Il s'était donc lever peu avant les aurors pour pouvoir regarder le lever du soleil qu'il préféret largement au moment où il voyait la Lune se lever à l'horizon, cette lune qu'il détestait, mais que malgrès le sentiment de haine qui le tenait dès qu'il voyait cette forme ronde, parfaitement sphérique, plus brillante que jamais, il ne pouvait s'empecher de vouloir la voire à tout pris dès qu'il se sentait mal ou qu'il était malade. Qu'il est un simple rume ou une grippe ne changeait rien à l'affaire, se n'était pas propotionnel. Il en avait juste envis, c'était un besoin, idiot certe, mais teriblement réel.
Le soleil décida enfin à pointer son nez loin au niveau des eaux sombres du Lac. Un vent frais se leva tout de suite atténué par la douceur des rayons du soleil qui commençait son travaille qui consistait à réchauffer les herbes humidiier par la rosée du matin.
Rémus souri, il se sentait bien, décidément cette année commencé plus que bien. À ce moment là il senti quelque chose de glacé sur ses pieds. Il les regarda et remarqua qu'il avait les pieds dans le lac et en sorti aussi rapidement qu'il était entré. Il ne bougea plus pendant une dizaine de minutes pour avoir le plaisir de sentir, le long de sa colone vertebral, les chatouillements des frissons qu'il eut lorsque les rayons du soleils le détaillière des pieds jusqu'au sommet du crane.
Lorsque le soleil se fut un peu mieux lever Remus amorça son retour au château lorsqu'il vit une silouette se découper à l'horizon, près du château, il esperait de toutes ses forces qu'il ne s'agisse pas du congierge ou d'un professeur ou bien d'un autre personel de l'école.

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