| | Les fleurs bleues [Pv Molly] | |
| | Auteur | Message |
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Arthur
Nombre de messages : 2 Statut : Année : 7 ème Gallions : 00 Date d'inscription : 08/05/2008
| Sujet: Les fleurs bleues [Pv Molly] Sam 28 Juin - 0:42 | |
| Arthur, un peu angoissé, tournait en rond dans le Parc, avec à la main un bouquet de bleuets. Il s'immobilisa un instant, et observa le paysage. C'était un lieu calme, paisible, un trou de verdure, meublé de buissons touffus et de saules qui versaient en murmurant leurs larmes langoureuses. A quelques pas de lui verdoyait la pelouse, qui ne semblait qu'attendre les élèves qui viendraient sans doute s'y étendre. Il fut satisfait de voir que personne n'était là. C'est qu'il n'était pas très à l'aise au milieu des gens, et qu'il voulait de plus être seul avec Molly... Molly... Molly! Il eut un instant de panique, et riva ses yeux sur sa montre. Plus que dix minutes. Il n'avait toujours pas décidé s'il l'attendrait sur le banc ou s'il se cacherait derrière l'arbre pour arriver en même temps qu'elle. Cette deuxième option avait l'avantage de lui éviter le ridicule, en même temps, elle laissait à penser qu'il était tout juste à l'heure, et, symboliquement, l'idée de lui montrer que depuis toujours il n'avait attendu qu'elle lui semblait fort séduisante. Il fit donc quelques pas, d'un air décidé, et s'assit sur le joli banc. Il avait envoyé un hibou à Molly pour lui demander de le rejoindre, aujourd'hui, sur le banc situé sous le vieux saule pleureur. Lieu réputé pour le plus romantique du lycée, et là où se retrouvaient un jour ou l'autre tous les couples. L'endroit n'était peut-être pas très original, mais ce qu'il avait à dire était suffisamment difficile, et il était rassurant de se sentir dans un cadre approprié, de sentir que le lieu, finalement, dirait lui-même ce qu'Arthur avait à déclarer. Et puis, penser à tout ceux qui s'étaient à cet endroit même déclaré leur flamme, c'était assez rassurant. Arthur, pris d'un élan de romantisme, crut sentir toute la force amoureuse du lieu, et il se prit à sourire béatement. Son regard s'égara sur le bois du banc, qui était couvert de petits coeurs, et d'une multitude de noms mis par deux, si resserrés qu'ils devenaient illisibles. Une farandole d'amoureux qui, depuis mille ans peut-être, avaient choisi ce banc comme symbole de leur amour. Il releva les yeux, et s'aperçut qu'il avait depuis quelques minutes constamment trituré nerveusement les pétales d'une des fleurs qu'il tenait la main. Celle-ci était maintenant dans un piteux état. Il paniqua. Qu'allait-il faire ? Il regarda tout autour de lui. Dieu merci, Molly n'arrivait pas encore. Il extirpa délicatement la fleur flétrie du bouquet, et, se levant, alla la cacher derrière l'arbre, en la coinçant dans un morceau d'écorce pour qu'elle ne s'envole pas, et ne vienne pas voler près d'eux pendant qu'ils... Enfin, qu'elle ne les gêne pas plus tard. Il jeta un coup d'oeil à sa montre. Plus qu'une minute ! Serait-elle ponctuelle ? Question ridicule. Molly était toujours ponctuelle. Il songea un instant à elle, à son sourire, à ses beaux cheveux roux, à ses yeux gris. Il entendit le chant d'un rossignol, et il lui sembla que c'était la voix de la jolie Miss Prewett qui riait. Il savait, indistinctement, que Molly serait sa vie. Qu'elle serait là pour l'aider à affronter les épreuves. Il ne savait pas concrètement ce qu'il aurait à vivre plus tard, ni ce qu'il deviendrait. A vrai dire, il ne savait pas même qui il était lui-même, mais une chose était sûre : tout cela, c'était e compagnie de Molly qu'il voulait le vivre et le découvrir. Son coeur se mit soudain à battre très fort, et un sourire béat illumina son visage, lorsqu'elle apparut. Car Molly, por Arthur, ne venait pas; Elle appraissait, et soudain une foule étrange de sentiments l'envahissait et, formant autour de lui une ronde exaltée, dissipait de lui tout pensée. Il faillit courir vers elle, pour la prendre dans ses bras, mais il se retint, et attendit simplement qu'elle arrive à sa hauteur, et son sourire, si c'était encore possible, se fit plus vaste, plus heureux. Il tendit ses deux mains vers elle et, s'apercevant que le geste seul était bizarre, incongru, il murmura :- Molly... Je...Il sentit qu'il était pitoyable, et soudain sortit de son coeur, jaillit de ses lèvres tout ce qu'il voulait lui dire et que ses yeux déjà, intensément, exprimaient :- Molly... Tiens, je t'ai apporté des fleurs. Regarde, elles te ressemblent : merveilleuses, gracieuses, céleste... Ca n'était peut-être pas exceptionnel, mais c'était profondément sincère, et pour un début, Arthur était assez content de lui. Il espérait que ça plairait à Molly, il espérait qu'elle l'aimerait, il espérait qu'elle l'accompagnerait au bal. Il la fixait, la contemplait, et souhaitait de tout coeur qu'elle comprenne, qu'elle l'aime. Sa vie entière, passée comme future, n'était suspendue à rien d'autre qu'à cet instant, et aux lèvres de cette jolie fille aux cheveux de feu. | |
| | | Molly
Nombre de messages : 6 Statut : Année : 7 ème Gallions : 00 Date d'inscription : 08/05/2008
| Sujet: Re: Les fleurs bleues [Pv Molly] Sam 28 Juin - 10:59 | |
| Le beau Arthur Weasley lui avait donné un rendez vous. La jeune fille en était tout simplement en extase, les anges avaient chanté lorsqu'elle avait lut la lettre. Mais maintenant un cruel dilemme s'imposait à elle. Comment allait elle s'habiller ? Es qu'elle devait se maquiller ? Et ses cheveux ! Comment devaient ils être ? Il fallait qu'elle soit parfaite pour Arthur. Elle essaya divers pull et pantalon, mais son choix se porta finalement sur sa jupe en jean et un pull moulant -cela attirait peut être Arthur- rouge avec des manche blanche. Heureusement qu'ils étaient le week-end ! Elle n'aurait pas voulut se rendre à son rendez vous habiller en uniforme, il la boudinait tellement. Pour la maquillage elle laissa tomber, la gryffondor que le jeun homme l'apprécie à sa véritable valeur. Oui, mais si elle ne se maquillait pas, il penserait sûrement qu'elle ne faisait rien pour l'attirer ! L'adolescente poussa un soupir à fendre l'âme puis eut une idée de génie. Elle allait se maquiller, mais très très légèrement. Elle prit donc du gloses et en étala un bonne couche sur ses lèvres rassemblait comme si elle allait embrassait et mit deux trais de crayons noirs sur ses yeux. Maintenant le problème des cheveux, généralement détaché ils formaient une horrible touffe. L'amoureuse les attacha donc en deux couettes en arrière. Voilà ! Tout était parfait ! Elle tourna sur elle même ravie et regarda l'heure, elle avait son rendez que dans une heure !
"Ohhhhhhhhh Arthur, bien sur que je veux aller au bal avec toi." Ce mit à minauder Molly avec une petite moue. "Non pas comme ça, plutôt." Une nouvelle tête étrange remplaça ça moue. "Allé au bal avec toi ? Mais bien sûr !" S'exclama t-elle d'un ton désinvolte. "Non, non ! Ce n'est pas du tout ça." Elle soupira et ferma les yeux pour se concentrer. "Arthur !" Yeux de chat botté dans shrek. "Bien sûr que je veux y aller avec toi ! Ohhhhhhhhhh merci !"
Elle poussa un soupir et s'assit sur son lit. La gryffondor était tout simplement pitoyable ! Depuis que Dumbeuldor alias dumby avait annoncé le bal, elle ne rêvait que de se faire invité par Arthur. Mais le jeun homme était un très bon ami, et cela pouvait être tout simplement juste un rendez vous amicale. Comment un garçon aussi charmant et pratiquement parfait peut s'intéresser à elle ? De plus il ne déplairait pas à sa famille vu qu'il ait de sang pur, mais elle s'en fichait de son sang et elle le savait du plus profond d'elle même qu'il était son âme sœur ! Finalement, l'adolescente se décida à y aller. Tant pis si elle était en avance ! Généralement, on reprochait aux filles de n'être jamais à l'heur et en retard. Là on pourra là reprocher de ne pas arriver pile à l'heur mais pas en retard. Elle ne rêvait que de plongeait ses yeux dans ses deux magnifique océan bleu... Bien qu'elle soit en avance, elle marchait d'un pas rapide pressait d'arriver à son rendez vous. Sur le chemin elle essayait de ce concentrer, de savoir ce qu'elle allait dire. Mais lorsqu'elle vit Arthur, elle perdit tous ses moyens. Son teint vira disgracieusement au rouge pivoine et elle se mit à balbutier.
"Bon...bonjour...Art...Arthur !"
A ça main il avait un bouquet de fleur bleu, un instant elle avait espéré que ce soit pour elle. Mais non, il avait sûrement un rendez vous galant avec une grosse pouffiasse autre que elle ! D'ailleurs pourquoi lui offrirait des fleurs aussi belles à elle ? Ce beau prince devait sûrement la considérait comme une bonne amie, rien de plus. A cette idée, elle ne pus s'empêcher de pleurer, et rapidement les larmes piquèrent ses deux yeux bleus pour coule et ce faire rapidement remplacer par d'autre. Oui, il aimait sûrement une autre. Le seul prince charmant qui existait à Poudlard devait sûrement aime une princesse et non une simple paysanne pas très belle comme elle. C'était complètement stupide ! D'arrive à un rendez vous et d'éclater en sanglot. Elle gémit et s'essuya les yeux en marmonnant.
"Mon maquillage est fichu..."
Il allait sûrement là trouver encore plus pitoyable. Elle le comprenait parfaitement, comme un garçon comme lui pouvait il l'aimait. Comment avait elle pus simplement avoir cette pensée ? | |
| | | Arthur
Nombre de messages : 2 Statut : Année : 7 ème Gallions : 00 Date d'inscription : 08/05/2008
| Sujet: Re: Les fleurs bleues [Pv Molly] Sam 28 Juin - 11:55 | |
| Mais qu'est-ce qu'il se passait ? Arthur regardait Molly, les yeux grand ouverts, la bouche béante. Mais pourquoi est-ce qu'elle pleurait ? Il l'observa un instant, sans savoir trop comment réagir. Même quand elle pleurait, elle était belle, et le jeune homme se prit un instant à observer les larmes transparentes qui coulaient le long des courbes gracieuses de son visage. Rassemblant ses connaissances sur l'amour et sur les femmes, il réfléchit quelques temps... Etait-ce normal qu'une fille éclate en sanglot quand on lui offrait des fleurs, et avant-même, à vrai dire, qu'il les lui ait offertes ? Non, a priori, ça n'était pas tout à fait normal. Bah, qu'importait! Ne sachant toujours trop comment réagir, il murmura simplement, et un peu bêtement :
- Molly...
Puis il comprit. Molly et lui avaient toujours été amis. Enfin, peut-être pas toujours, mais depuis un bon bout de temps, tout de même. Et là, en voyant les fleurs, elle avait compris qu'il l'aimait, ça n'était pas possible autrement. Et elle avait eu peur de lui faire du mal, peut-être, peur de lui dire qu'elle ne l'aimait pas, et il songea soudain que ce geste, ce vilain geste de l'inviter risquait fort de mettre un terme à leur amitié. Ca serait sans doute gênant pour elle de lui parler, toujours, alors qu'elle avait repousser ses avance,s difficile pour elle de supporter son regard amoureux, alors qu'elle, forcément, n'aimait pas Arthur. Son visage se crispa de douleur. Alors, tout était fichu ? Non, ça n'était pas possible. Il voulait au moins lui montrer que, s'il n'y avait apparemment pas d'amour possible, il désirait plus que tout que leur amitié perdure, et survive à cela. Il tendit timidement la main vers son visage et, doucement, essuya une larme. Il espérait que cela pourrait aider Molly à se ressaisir. La situation devenait assez gênante. Il l'observa qui pleurait et, ressentant au plus profond de lui-même la douleur de la jeune fille, dont il ne pouvait déterminer la cause, il eut envie de la prendre dans ses bras. Mais ne serait-ce pas insister, alors qu'apparemment, elle ne l'aimait pas ? Il craignait d'être disgracieux. Et pourtant, il lui était arrivé, déjà, de la consoler dans les moments durs. Il voulait de tout son cœur connaître la cause d’une telle tristesse.
- Molly, qu’est-ce qu’il y a… Est-ce que… Est-ce que c’est de ma faute ?
Après tout, peut-être était-il arrivé quelque chose, peut-être sa demande était-elle simplement faite au mauvais moment ? Une once d’espoir rejaillit alors en lui, et il suffit souvent d’une minuscule étincelle d’espérance pour rallumer un amour qui craint de s’éteindre, de se trouver étouffé. Il s’accrocha à cet espoir, et de minuscule qu’il était, il lui sembla soudain énorme. Oui, peut-être même était-ce sous le coup de l’émotion, qu’elle pleurait… Alors, se laissant emporter par son amour, il la prit doucement dans ses bras. Le bouquet de fleurs, qu’il avait toujours à la main, le gênait un peu, mais il n’y pensait pas. Il hésita un moment, puis, ses sentiments ardents ravivant son audace, il murmura à son oreille ces quelques mots. Mon Dieu, pourvu qu’elle accepte !
- Molly… Est-ce que tu accepterais de m’accompagner au bal ?
Voilà, c’était dit, et il regretta évidemment tout de suite ses paroles. Elle ne pouvait l’aimer, lui, si ridicule ! Comment avait-il l’insolence de croire seulement qu’elle pourrait vouloir l’accompagner ? Elle, qui était si belle, si vive, si talentueuse ! Il se souvint d’un jour, au club de Duel, où ils étaient tous les deux inscrits. Ils étaient alors l’un contre l’autre, et Molly l’avait battu. A plate couture. Il s’était retrouvé par terre, KO, et elle de s’excuser d’avoir été si violente. Mais c’est de ce jour, oh, cela devait faire trois ans, peut-être quatre, qu’Arthur s’était rendu compte qu’il aimait Molly un peu plus qu’une simple amie. Il se souvenait de son regard à la fois doux et déterminé, de l’habileté de ses sorts, et aussi de la flamme qui illuminait ses cheveux roux tandis qu’elle combattait. Depuis, ils étaient presque constamment ensemble, et Arthur, souvent, avait été près de lui déclarer sa flamme. Las, la timidité, et beaucoup d’autres choses, le temps, le besoin de remettre à plus tard, la peur, aussi, surtout, et l’incertitude… Il n’avait jamais osé rien dire. Et maintenant, c’était fait. Ces années d’amour, et désormais, il allait savoir si Molly, elle aussi, l’aimait, ou s’il allait devoir survivre sa vie entière, en ne pensant qu’à elle, qui l’obsédait. Et il craignait que la réponse soit négative. Il se figea soudain, inquiet. Et si elle y allait déjà avec un autre ? Ce serait la pire de toutes choses ! Qu’elle ne l’aime pas, c’était déjà un supplice, mais la voir avec un autre ! Il se raisonna. Si elle ne l’aimait pas, alors, elle serait plus heureuse avec un autre. C’était cela, qui comptait. Sa propre souffrance, il pouvait la supporter. Pas celle de Molly. Il desserra lentement son étreinte, et recula d’un pas, fixant sans pouvoir le quitter le gris divin des yeux de la jeune fille. | |
| | | Molly
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| Sujet: Re: Les fleurs bleues [Pv Molly] Sam 28 Juin - 22:11 | |
| Molly, ce prénom pas particulièrement gracieux, devenait le plus beau lorsqu'il était prononce par Arthur. Mais il la voyait sûrement comme une amie, et son prince charmant devait la trouver stupide. Mais elle ne lui en voulait même pas de penser ça. Au contraire, elle était particulièrement d'accord avec lui sur ce point. Molly Prewett est une jeune fille complètement stupide et particulièrement disgracieuse. Cela a eut pour effet de faire redoubler ses pleurs. Elle était cruelle avec Arthur, oui, c'était fort cruel de pleurer comme ça sans prévenir. Mais c'était cruel de la part du Gryffondor de lui faire croire au prince charmant, bien qu'il en soit tout à fait inconscient. Sa mère l'avait pourtant prévenus de nombreuse fois. Le prince charmant parmi les sangs purs n’existait pas, seul les mariages d'intérer compter. Mais elle, elle voulait un mariage d'amour avec Arthur Weasley et personne d'autre ! Au diable les intérer. Le jeun homme lui demanda au bout d'un moment ce qu'il n'allait pas et si il en était la cause. Ah Arthur ! Toujours aussi chevaleresques et beau aussi soit dit en passant. Le jeune fille étouffa quelques sanglots avant de pouvoir prononcer difficilement.
"Non...enfin si..."
Comment avait elle osé dire que oui ?! Il fallait qu'elle se rattrape immédiatement, ce n'était pas de la faute d'Arthur ! Enfin si ! Non c'était la faute de cette troll dégénérée qu'aimait Arthur ! Non ce n'était pas de la faute de cette harpie, c'était la faute de cupidon ! Oui de cet enfant capricieux qui envoyait ses flèches à tords et à travers dans tout Poudlard ne prenant pas en compte les vrais sentiments des personnes qui en souffrait en silence.
"Ce n'est pas de faute...enfin si mais indirectement..."
Essaya t-elle de s'expliquer maladroitement. Comment pouvait elle expliquer ses larmes sans avouer ses sentiments ? Cela était tellement dur, ils étaient enfermé dans une coquille aussi fine qu'une membrane d'œuf de fée et n'attendaient que le moment pour exploser. Mais quelle ne fut pas sa surprise lorsqu'elle sentit deux bras la serrer contre un corps divins. Pas Merlin c'était un dieu grec vivant, non il était dix milles fois mieux qu'un dieux grec, que disait t-elle ? Dix milliards fois mieux enfaîte. C'était doux et protecteur à la fois. L'adolescente sentait le souffle chaud de son ami sur sa peau. Bien sûr qu'il l'avait déjà prise dans les bras, mais jamais au grand jamais ce n'était comme ça. Pour rien au monde elle changerait sa place. Elle serait prête à tuer père et mère, c'était un avant goût du paradis. Il avait toujours était doux et le seul à savoir quel mot pouvait la consoler et quel geste lui faisait oublier ses soucis et ses solitudes. Lorsqu'elle avait perdu son chat, elle avait été inconsolable, pourtant il avait consolé, des journées durant. C'était à ce moment là qu'elle avait compris qu'elle tenait particulièrement au jeun homme. Jamais elle ne pourrait plus heureuse que d'être entre ses bras ? Jamais ? C'est un mot a prononcé avec énormément de prudence, en effet quelques secondes plus tard il lui proposa la question qui hantait ses rêves les plus fous depuis quelques temps. Les larmes qui s’étaient tarirent reprirent de plus belle. Sauf que cette fois c'était des larmes de joie. A sa grande tristesse il se retira et le regarda doucement. Puis, sans comprendre ce qu'elle faisait. Molly sauta dans les bras d'Arthur et l'embrassa. C'était comme un feu d'artifice dans son cœur. Arthur Weasley lui avait proposé d’aller au bal ! Et elle, Molly Prewett avait embrassé le plus beau garçons de la Terre, que disait elle de l'univers !
"Oui Arthur ! Je veux y aller avec toi de tout mon cœur !"
Au diable les stupides et sans intérer, cette fois-ci cela venait du cœur. Et comme les lèvres duphrases jeun homme lui manquait déjà tellement, elle ressauta à son cou pour poser une autre fois ses lèvres sur celles du garçons en espérant qu'il accepterait d'approfondir le baiser.
[Hj : pas beaucoup de parole mais des actions qui en disent bien plus ^ ^ Désoler c'est pas top =s] | |
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