Méandre [Libre]

Peut-on échapper à sa nature profonde ? Non. Non, sans doute, et la révolte contre soi-même n’est rien d’autre qu’un suicide. Mad était une adolescente, et cela, qu’y pouvait-elle ? Cela faisait pourtant longtemps qu’elle résistait, qu’elle restait seule pour échapper aux autres, et à tout ce qu’ils représentaient. Elle n’avait d’ailleurs pas eu à se donner grand mal. Elle n’était de toute façon pas capable d’avoir des relations normales avec quelqu’un. Elle était tellement lunatique… Un jour, elle serait presque gentille, mais déjà le lendemain, la voilà silencieuse, revêche, désagréable. Triste, haineuse. C’était variable, mais les bonnes journées étaient assez rares. De cela, elle commençait à avoir l’habitude. Non, le plus étonnant, le nouveau, pour elle, c’était de ne plus se supporter dans les mauvais jours, et de ne plus supporter sa solitude. Tel le fleuve qui court à la mer, s’efforçant par ses méandres à ralentir sa course, à l’éviter peut-être, telle était Mad, à vouloir échapper aux hommes et à leur société, mais sans pouvoir s’empêcher de s’en rapprocher, lentement, inexorablement. Oui, ses révoltes n’avaient été que les méandres de son âme qui n’était pas prête à accepter les hommes. Mais la pente s’accentuait, et depuis quelques jours elle sentait que la mer était proche. Allait-elle s’y noyer ? Elle sait bien pourtant combien les hommes sont dangereux. Sa mère, ah, sa chère mère n’en est-elle pas le plus grand exemple ? Que ne ferait-on pas pour se sentir aimé, hein ? On torturerait bien, on tuerait bien pour cela seulement. C’est ce qu’elle avait choisi, sa génitrice. Mad ne devait pas faire pareil. La mer, elle pouvait l’accepter, mais elle devait rester sur les côtes. Aller au large, se perdre, ce serait plonger au cœur de ce qu’elle a toujours détesté, renier ce qui compte pour elle. Renier son propre père, qui n’a pas vécu assez longtemps pour connaître un seul jour sa fille. Souvent elle rêve qu’il vient, qu’il la prend par la main, et qu’il lui explique tout ce qu’elle doit faire. Comme ce serait doux et aimable, un père à ses côtés pour la guider dans cet affreux monde. Lui cependant il avait aimé, plus que tout, plus que sa propre vie, et même si cela avait mal fini, est-ce que Mad ne lui devait pas cela ? Oui, dans la théorie, c’était concevable. Mais les gens lui faisaient peur, si peur, et elle n’avait avec eux d’autre stratégie que de les repousser, toujours. C’était beaucoup trop complexe.
Pour oublier, elle plongea quelques secondes durant sa tête sous la surface, se laissa flotter sans plus penser à rien. Quand elle ressortit, le problème n’était pas résolu. Comme c’était sans espoir, et comme elle ne pouvait résoudre ce problème seule, elle se mit à nager, dépenser au moins son énergie. Depuis qu’elle avait calmé sa haine, elle avait étonnamment toujours envie de bouger, de se dépenser. Car sa rage désormais ne s’orientait plus vers sa mère mais vers elle-même, elle qui théorisait beaucoup ses relations avec les autres, mais qui n’était pas capable d’adresser la parole à qui que ce soit. Etait-il possible que quelqu’un l’aime, un jour ? Oh, pas l’amitié, l’amitié, elle savait pouvoir avec quelques efforts s’entourer de personnes qu’elle pourrait apprécier… Les Poufsouffle étaient gentils, et souvent peu rancuniers. Mais quant à l’amour, le véritable, celui qu’avait éprouvé son père, en était-elle capable ? S’abandonner entièrement à quelqu’un, lui offrir tout, sans savoir si cela pourrait réellement durer, exister dans quelqu’un d’autre plus que dans soi-même… Mad depuis quelques temps ne pouvait penser qu’à cela, et il ne se pensait pas capable d’en arriver là un jour. Trop beau pour elle sans doute, trop beau pour quelqu’un d’aussi moche. Aux autres les beautés, délices, merveilles de l’amour. Les autres… Tiens, justement, il en venait, un autre. A nager seule ainsi, elle avait oublié que le lieu était public, ouvert à tous. Elle leva donc la tête, et observa le nouveau venu d’un air assez neutre, qui ne changeait guère de son visage habituel, et ne témoignait en rien des bouleversements, des vagues meurtrières qui agitaient son âme.

Bellatrix, une fois de plus, était d'humeur très ombrageuse. Ses piètres résultats en cours ces derniers temps commençaient à l'agacer au plus haut point. Si jamais son père venait à apprendre cela, s'en était finit pour elle. Et pourtant... les cours, était-ce si important que cela au fond? Pas pour Bella en tout cas. Un diplôme, certes, c'était toujours bien vu, mais il ne témoignait en rien de la supériorité d'âme d'un être humain. Ni de sa force, et encore moins de sa domination sur les autres. Et oui, la domination représentait tout pour la serpentarde. c'était sans aucun doute par ce phénomène que l'on parvenait à se faire respecter dans la société d'aujourd'hui. De nos jours, chacun voulait avoir sa propre place dans la vie, son statut, son rang. La plupart encore, souhaitait avoir une vie paisible, un mariage, un ou deux enfants pour poursuivre leur lignée et puis basta. Mais était-ce vraiment ça la vie? Non, certainement pas. Vu que chacun était destiné à mourir un jour, alors autant avoir une mort remarquable, et avoir accomplit des actes incroyable dans sa vie afin que jamais notre nom ne soit oublié. Oui, Bella comptait bien faire parler d'elle, et cela très bientôt. la promesse qu'elle avait à son père de travailler à l'école était déjà tombée à l'eau. Elle se voyait un avenir plus grand que cela. La peur, oui, elle voulait être crainte du monde entier. la famille black règnerait un jour!
Elle continuait à avancer, le regard vague. Elle sortait à peine du dortoir des filles où elle s'enfermait beaucoup ses temps-ci. les autres l'agaçant tellement qu'elle ne pouvait plus les voir. Il n'y avait que Cissy qu'elle tolérait près d'elle. Severus, tant qu'à lui, devenait assez étrange, surtout avec cette maudite Lily Evans, miss je sais tout et sang de bourbe à ses heures.
Bellatrix arriva enfin devant la salle de bain. Elle n'avait pas envie d'allez dans celle réservé au préfet, de peur de croisé Evans là bas. Elle ne l'intimidait pas, bien au contraire, mais elle avait envie de calme, impossible avec cette peste dans les parages. Bella poussa la porte et entra d'un pas lent mais ferme. Elle vit alors qu'il y avait quelqu'un. Chouette alors... pensa t-elle ironiquement. détournant son regard, elle posa ses affaire sur un meuble de bois lisse.

Bellatrix Black... Ouais, peut-être pas la meilleure personne pour un numéro de philanthropie. Cette jeune fille de Serpentard jouissait d'une certaine renommée dans l'école, mais assurément pas pour son amabilité. Une Black, quoi... Que ce soit Sirius ou le reste de sa noble famille, Mad ne les affectionnait guère. Trop imbus de leur petite personne, les uns comme les autres, pour plaire à la jeune fille. C'était un plan sur lequel elle n'était aucunement tolérante : elle ne pouvait pas supporter les narcissiques ni les prétentieux.
Peut-être qu’il allait falloir revoir ce qu’elle avait pensé quelques instants auparavant… L’amour, d’accord, mais pas trop, quand même… Elle n’allait pas devenir tolérante sous n’importe quel prétexte. Enfin, il convenait tout de même de revoir sa vision des choses. Pour cela, repartir avec l’esprit tout à fait opened, vide de tout préjugé. Non ? Bon, d’accord, non, pas d’angélique sourire ni de sympathie, pas d’air aimable, rien qui ressemblât à un changement d’attitude, en somme. Pas de pitié pour les crapules. Mad, qui connaissait son temps, aimait à se figurer ses discours intérieurs comme un combat entre les parts respectives du démon et de l’ange qui habitaient son âme. Car c’est ainsi qu’on se figure de nos jours le débat, un duel entre le noir et le blanc, comme s’il ne pouvait exister un gris vraiment bien mélangé, comme si le mal était toujours distinct du bien. C’est donc ainsi que Mad, en riant de son monde, se moquant de son temps, s’imaginait les choses, acceptant par facilité autant que par ironie le manichéisme omniprésent.
Ce pensant, la gamine aux cheveux roux fit, tout de même, un bref hochement de tête en direction de Bellatrix, et dit, d’une voix dure et assez rauque, sa voix des mauvais jours, imitant à la perfection celle d’un bouledogue furieux :

- S’lut Black…

Ca devrait suffire pour la conversation. Ah, mais par rapport à certaines fois, c’était déjà un effort que de lui adresser la parole. Black, d’ailleurs, ne semblait guère décidée à s’occuper d’elle. Elle tournait résolument la tête vers le mur, et semblait vouloir l’ignorer. Miss Black était-elle donc d’humeur boudeuse ? Ma foi, c’était son affaire, et Mad comptait bien continuer son bain tranquillement sans s’embarrasser de cette fille.
Cela, c’était sans compter la vague qui, agitant soudainement les flots, immergea durant un instant la tête de la jeune Poufsouffle. Quand elle fut de nouveau hors de l’eau, saine, sauve, quoi qu’un peu mouillée, on l’imagine assez bien, et somme toute d’assez mauvaise humeur, elle ne put retenir un murmure étonné. C’était plus fort qu’elle. Car une vague n’arrive que rarement sans cause. Là, la « cause », justement, une espèce de créature étrange, pas très grande, mais pas vraiment petite non plus, qui venait de sortir de l’eau et qui maintenant se précipitait sur la Black. Nul doute que celle-ci l’avait bien cherché, mais Mad n’eut pas le cœur de la laisser ainsi, ni d’ailleurs réellement le temps de réfléchir.
Elle ouvrit de nouveau la bouche, et cria, cette fois, d’une voix aiguë, angoissée, perçante :

- Attention !

Car la Black ne regardait pas de ce côté, trop prétentieuse pour poser ses précieuses pupilles sur Ma,d sans doute. Toujours est-il qu’elle n’avait pu voir la chose. La chose, d’ailleurs… C’était étrange, tout de même, Mad n’aurait pas trop su identifier cette créature. Enfin, elle n’était pas non plus une professionnelle en matière de créatures magiques, ça n’était pas si étonnant. Non, ce qui pouvait surprendre, c’était surtout la présence d’une telle bestiole dans les Salles de Bain de Poudlard. Ca n’était assurément pas leur place, et soit elle avait d’une quelconque façon réussi à pénétrer ici, auquel cas, c’était inquiétant, soit elle y avait été introduit, et ça l’était encore davantage. Enfin, si la Black se faisait éborgner, ça n’était pas encore dramatique, ça lui remettrait peut-être son ego en place, qui sait…

Décidément ce n'était vraiment pas son jour. Non seulement rien n'allait comme elle voulait, et en plus elle devait supporter la compagnie indésirable de la rouge et or, ou comme bella aimait l'appeler, l'abeille. Normal, elle détestait véritablement cet animal, alors les poufsouffles...
Elle lui jeta un regard perçant, avant de s'occuper de nouveua de ses affaires. Elle prit cependant la peine de répondre d'un air insolent.

-Salut.
Et ne m'appelle pas Black, tes lèvres son indigne de prononcer ce merveilleux nom que m'ont donné mes ancêtre.

Et voila, vite fait bien fait. Elle adorait pouvoir répondre aux gens comme bon lui semblait. Encore une raison qui faisait que la serpentarde était connu dans toute l'école. De toute manière, les verts et argent avaient toujours étés craint. Non seulement par leur mauvais caractère de nature, mais aussi pour leur intelligence dans toute les supercheries, mauvaises blagues et autre. C'était un véritable régal que de faire partit de cette honorable maison ancestral. Elle se dirigea vers un vestière et s'y changea rapidement afin d'aller se laver elle aussi. Après tout cela, elle ne pourrait faire que de beau rêve, sans doute en pensant à son prince charmant.
Soudain elle entendit crier derrière elle alors qu'elle finissait de ranger ses vêtements dans son sac. Sans réfléchir, elle se retourna et vit une créature foncer vers elle. Ne prenant guère le temps de prendre sa baguette qui était au fond de son sac à présent, elle fila un coup de pied violent à la bestiole qui alla s'écraser contre le mur du fond.

-Mais c'était quoi ça?

La créature avait maintenant disparu, mais bella était certaine qu'elle n'était pas partit bien loin.
Elle se tourna vers La poufsouffle, avec curiosité, colère, et crainte en même temps dans le regard. Elle ne pensa pas à la remercier de l'avoir averti, ce n'était pas son genre d'être gentille, même dans ce genre de situation.

Florian avait passé une dure journée. Ce matin il avait été réveillé par sa petite sœur qui avait envoyé une première année le réveiller. En effet la jeune fille n’était pas de la même maison, elle devait user de mille et une ruse pour pouvoir faire appeler son grand frère.

Donc la première année avait eu le droit aux insulte et au livre de potion qu’il lui avait balancé à l’aveuglette. Il s’était alors dépêcher de s’habiller pour rejoindre sa petite sœur qui était de mauvaise humeur d’avoir du attendre. Il avait du écouter pendant qu’ils prenaient leurs petits déjeuner, la vie qui semblait si passionnant de sa sœur cadette. Il aurait donné quelques gallions pour pouvoir manger avec les jeunes filles de Serdaigle à qui il avait raconté une histoire de prince charment la veuille au soir.

Ensuite une matinée de cours tranquillement et sans ennuie majeur. Le pire n’était pas encore arrivé. Lorsqu’il était parti à la table de sa maison pour juste manger quelques chose rapidement sans s’y attardez. Il avait été interpelé par un groupe de jeune fille de Serdaigle. Ce devait être des premières années car il ne les avait encore pas vus. Il alla alors auprès de ses jeunes filles qui ne le connaissaient pas ! Il fut outrer d’entendre qu’il était soupçonner d’être un vampire ....

Un vampire .... Lui ? Une créature de la nuit ? D’un coté cela le flattait d’être comparer à une créature mythique ... Mais d’autre par c’était honteux de rallier son charme et son romantisme à celui d’un être assoiffé de sang. Lui qui étai juste assoiffé de filles. Le jeune Serdaigle avait prit la réflexion comme compliment mais il bouillonnait de rage à l’intérieur.

Cette nouvel avait eu pour effet de le rendre désagréable et hautain. Florian s’étonna lui-même lorsqu’il se rendit compte qu’il avait envoyé balader 4 jolies filles de sa maison qui lui avait demandé de s’installer à coté de lui. Il n’aimait pas son comportement mais il aimait encore moins être comparé à une créature malfaisante.

Après cette dur journée de cours qu’il avait passé seul sans compagnie ... Sans flirte. Il s’en sentait nauséeux d’avoir refusé tant d’invitation ... Enfin les filles ne se vexaient pas pour si peu ... Le jeune garçon savait qu’en les repoussant une fois elle revenait plus vivement à la charge !!! Alors qu’il se dirigea vers l’entrer de la salle commune des Serdaigle, sa petite sœur vint lui casser les pieds en lui demandant pourquoi il avait été désagréable aujourd’hui.

Pour toute réponse l’adolescent répondit avec une dureté inhabituelle qu’il allait prendre sa douche. Il en voulait pas être déranger. La jeune femme avait bien essayé de lui dire quelques choses mais Florian avait refusé même de l’entendre. Il en avait assez qu’elle le chaperonne comme aurait fait sa mère lorsqu’il rentrait tard le soir quand il était en vacance scolaire.

Il savait que la petite attendrait devant la porte pour voir s’il sortait bien pour aller prendre son bain, pour voir qu’il ne mentait pas. Alors le jeune garçon avait prit rageusement ses affaire de toilette. Avait enfilé son caleçon de bain et prit son gel douche et son shampoing. Il espérait qu’il n’y aurait personne pour le déranger. Lorsqu’il sortit de la salle commune il croisa comme prévu sa petite sœur à la quelle il fit un sourire charmeur et un clin d’œil. L’adolescente outrée était partit en courant en direction de sa propre salle commune.

Lorsqu’il passa devant la salle de bain il entendit un cri de jeune femme en détresse. Il n’eu pas le temps de prendre sa baguette et de se ruer dans la salle que les cris avait cessé. Il ‘n’était pas ridicule ... Mais ... Se baigner avec sa baguette magique était peu répandu.

Le jeune homme toussota pour avoir l’attention des deux filles qu’il avait identifiées. Déjà Bellatrix Black ... La charmante cousine de Sirius Black ... Un des garçons les plus célèbres de l’école et son ennemis personnel en matière de conquête féminine ... Pourtant le jeune savait bien que même s’il réussissait à séduire la jeune serpentarde, le Griffondor ne lui prêterait aucune attention ... Florian savait que les rapports entre la demoiselle et la maraudeurs étaient plus que tendus. Ensuite il reconnu une fille de Poufsouffle. Mad Benson ? Oui ... Il lui avait déjà parlé lors d’un après midi ... Elle était surement à la bibliothèque ... Mais alors pourquoi l’avait-il abordé... Surement pour la complimenter sur la beauté de sa plume ... Enfin ... Peut importait les raisons pour les quelle il parlait aux jeunes femmes...

Après avoir identifié les deus jeunes demoiselles. Il leurs offrit volontiers un sourire charmeur effaçant sa mauvaise journée.

-Excusez-moi mes demoiselles ... Puis-je me joindre à vous ?

Florian espérait de tout cœur une réponse positive de la part de ses jeunes filles pratiquement inconnues. Il attendait toujours en vêtement malgré qu’il se trouvait dans une salle de bain. Et qu’il commençait à faire chaud...

Eh bien, Black était toujours aussi aimable... Il aurait été tout à fait incroyable qu'il en fût autrement. Il ne servait à rien de lui parler davantage, cette fille était bien trop enfermée dans ses idées pour entendre seulement ce qui lui serait dit. Mad hésita pourtant. Elle aurait bien souligné à la Black son ridicule. Oh, et puis après tout, pourquoi pas ?

- Merveilleux ou pas, ça reste à voir… Ca n’est jamais qu’un nom de couleur, d’une absence de couleurs, même… Terne et sans couleur… Moi, j’aurais honte de porter un tel nom !

C’était puéril, bien sûr, mais c’était agréable, de dire ce qu’on pense, ainsi, comme une petite vipère, à cette reine des serpents. De toutes façon, à bien y réfléchir, il n’était pas pour elle concevable de rester sans rien dire, d’accepter ce genre d’insultes. Elle était d’humeur revêche, et tenait à le montrer.
C’est alors que survint l’étrange accident, cette créature non identifiée qui se rua sur la Vert et Argent. Celle-ci réagit vite, et donna un coup de pied à la chose bizarre, qui partit en courant vers le fond de la pièce, et plongea à nouveau dans l’eau. Mad s’assit sur le bord, ramena ses genoux contre elle, et scruta la surface durant un instant. Elle ne savait pas trop ce que c’était que cette bestiole, mais elle ne semblait guère amicale. Autant éviter de se faire attraper les pieds de la sorte. Mad ne put réprimer un sourire en voyant l’air inquiet de la Black. Cette fille craignait donc quelque chose ? Voilà qui n’était pas très bon pour la fierté de sa famille ! Elle demanda ce que c’était que la bête, et Mad lui répondit simplement par un haussement d’épaules.
Elle laissa à nouveau son regard se porter sur le bassin. En effet, elle avait cru entendre un bruit, sans toutefois en identifier la source. Ce n’est que quand une toux discrète se fit entendre qu’elle tourna vivement la tête en direction du nouvel arrivant.
C’était un garçon, un peu plus jeune qu’elle, un grand jeune homme brun, plutôt mignon. Un Serdaigle. Comment s’appelait-il, déjà ? Florian… Quant au nom de famille, il lui échappait. Elle se souvenait qu’il lui avait adressé la parole, une fois, pour une raison quelconque. Mad, comme à son habitude, avait été mauvaise, et la discussion avait été assez écourtée. Elle regarda le garçon qui demandait s’il pouvait se joindre à elles. Vu la compagnie qu’elles faisaient, une noiraude prétentieuse au possible et une rouquine mauvaise, c’était un acte assez courageux, et à vrai dire incompréhensible, que de vouloir entrer ici. Elle le dévisagea, de façon assez impudente, pendant quelques instants, puis haussa les épaules. Il pouvait bien rester si cela lui faisait plaisir, enfin, elle avait du mal à comprendre quel plaisir on pouvait éprouver à se trouver là.

- Si tu y tiens réellement...

Elle se tourna vers la Black, se demandant si elle allait aussi provoquer un conflit avec ce garçon, ou si elle chercherait à le séduire. Bref, le comportement de cette gamine l’intéressait. Quitte à paraître impolie _ mais il aurait été ridicule de s'attacher à la politesse en présence de cette fille _ elle la dévisagea, fixant sur elle son regard sombre, et tentant de deviner sa réaction.

Bellatrix était furieuse de la manière dont osait lui parler cette petite peste. Par chance, ou peut-être plutôt par malchance, sa baguette était au fond de son sac, mais autrement, elle n'aurait pas hésité une seconde à se défouler un peu sur cette vermine. Décidément les Poufsouffles ne savaient plus quoi inventer pour se faire remarquer ces derniers temps. C'était un peu comme ces maudits gryffondors, toujours à se rendre intéressant, et notamment avec Potter. Comment Sirius avait-il pu tomber si bas?! Elle n'osait même plus lui parler de peur d'entendre ce qu'elle ne voulait justement ne pas savoir: c'est à dire que Sirius serait du "bon" côté avec tous ces minables. C'était intolérable pour sa famille. bella osait à peine imaginer ce que sa tante pouvait bien ressentir à l'égard d'un tel fils. Ils avaient tout fait pourtant pour le remettre sur le droit chemin, en vain.
Elle s'assit sur le rebords de la commode et fixa la jaune et noir d'un regard dévastateur.

-Honte, moi? jamais! Les black représente l'une des familles les plus digne et réputé du pays, je ne les dévaloriserait pas si j'étais toi. Encore moins toi, une poufsouffle... ça c'est une véritable honte.

Bella se mit à rire, comme elle le faisait à son habitude devant une personne de la sorte. Puis elle vit la jeune fille remonter sur bord du bassin afin d'éviter de se faire happer les jambes par la créature mystérieuse. ne la voyant plus réapparaitre, et n'obtenant aucune réponse de la jaune et noir, elle décida tout simplement de ne plus s'en soucier. Cependant dans un interval très cours, un jeune homme fit son apparition à la porte. Bella le dévisagea de haut en bas et tenta de se souvenir de son nom. .... Florian, oui c'était cela, un Serdaigle. La serpentarde s'attaquait très rarement à cette maison cer certain élève lui avait rendu des services pour ses devoirs. A part Serpentard qu'elle fixait sur un pallier très haut, la maison de Serdaigle était bien la seule pour qui elle avait un tant soi peu de respect. A l'inverse les gryffondors et les poufsouffles étaient en bas de son échelle hiérarchique. Bella fut quelque peu surprise par la réponse de Mad. Elle avait été plutôt sèche, pourtant ces deux maisons n'étaient pas en rivalité... Se tournant simplement vers lui elle répondit.

-Pourquoi pas.

Belle c'était sentit un peu visé par la remarque de mad. Un peu comme si ça présence n'était guère agréable. Si seulement elle pouvait se regarder dans un miroir celle là avant de parler...

Le jeune garçon était surprit. La salle de bain était magnifiquement embuer et pourtant les deux jeunes femmes ne riaient pas aux éclats. Enfin c’était vrai que la jeune Black n’était pas réputée pour son caractère jovial... Mais pourtant, l’autre jeune femme aurait pu détendre de l’atmosphère qui s’était quelques peurs glaciales !

Alors qu’il demandait s’il pouvait rejoindre les deux filles quelques chose remua au fond de l’eau. C’était surement cela qui avait fait hurler les jeunes demoiselles. Il sourit pour lui-même, c’était surement l’une des créatures qui consistait à manger le savon .... Ou on ne savait quoi d’autre de plus étrange. Mais ce qu’il ignorait c’était pourquoi la Griffondor et la serpentarde avait crié !

Enfin bon, le jeune Serdaigle se dépêcha d’enlever ses vêtements laissant voir un corps parfaitement entretenu. Laissant sur lui, son pendentif en forme de croix. S’il était un vampire, pourquoi portait-il une magnifique croix d’argent ? ET bien tout simplement car il n’était pas un vampire ... Après ce pensées assez étrange, il revint vers les deux donzelles. Elles étaient encore à la même place.

Le jeune Serdaigle ne connaissait pas encore très bien la demoiselle de Poufsouffle. Il n’aimait pas qu’une jeune femme lui reste inconnue. Il se glissa dans l’eau lentement pour s’habituer à la chaleur. C’était légèrement bouillant mais il s’y ferait. La pointe de ses longs cheveux noirs bleutés trempait dans l’eau chaude.

Florian commença à penser tout seul. Pourquoi il n’était pas seul... D’habitude, lorsqu’il allait prendre son bain, il n’y avait personne .... Il réfléchit comme cela pendant une bonne minute laissant le silence régner. C’était vraiment très agréable. Jusqu'à ce que ! Mais oui ! Il se lavait le midi et le matin ! Voila pourquoi il était le seul à être dans la salle de bain lorsqu’il venait se laver !

L’adolescent toussota pour la deuxième fois. Our être sur d’avoir l’attention de tous. Chose qu’il avait apprit à faire depuis 4 ans dans la salle commune de Serdaigle pour que tout le mon de le regarde. Une fois son petit « truc » accomplit, il demanda le plus sérieusement du monde, non sans regarder dans les yeux les deux jeunes filles en présence autour de lui à tour de rôle.

-J’ai entendit quelqu’un crier ... Enfin surement mon imagination ! Sinon Mademoiselle Black ... Votre cousin reste toujours aux cotés de Potter ! C’est affligeant de voir la façon dont il souille votre nom ...

Sa voix résonnait légèrement. Il y avait aussi l’écho de quelques petites gouttes d’eau qui continuait à tombées... Lieu magique de détente. Malgré qu’il adore rester au silence. Il ne pouvait s’empêcher de parler en présence de fille... et qui plus est, une cousine de son pire ennemi, et l’autre un charmante inconnue. Pourtant, il avait posé une question et aurait apprécié en avoir la réponse. Mais enfin, si les deux demoiselles ne voulaient pas répondre, il resterait muet respectant leurs choix de garder leurs secrets !

Il Attendit seulement de la vert et argent lui donne une réponse ... Il pensait qu’elle serait vive et acérer ... Cela aurais été normal qu’elle défende l’un des membres de sa famille ... Mais il savait que la Serpentarde ne le tenait pas dans son cœur...

Bellatrix préférait ne plus regarder la poufssoufle car elel sentait la colère monter en elle comme un simple bouchon de champagne. Pour qui se prenait-elle cella là, c'est dingue?! Une rouge et noir qui se croit supérieur aux nobles serpentard, décidément on aura tout vu dans ce château. Imitant Florian, elle se glissa finalement dans l'eau, mais prit bien la précaution de rester le plus loin possible de Mad. Une envie meurtrière venait si vite à cet âge ingrat...
Puis Bellatrix écouta la réponse du Serdaigle. C'était pour le moins surprenant qu'il pense cela, mais il grimpa très vite dans son estime. Souriante, elle répondit.

-Enfin quelqu'un qui a des valeurs respectable, c'est très rare. Merci beaucoup de ces paroles, il est vrai que Sirius est une véritable honte pour notre famille. Et pourtant, je continue à espérer que je parviendrait à le récupérer pour son honneur déjà largement bafoué par ce Potter...

Après une petite pause, pendant laquelle elle profita de remettre es cheveux bien en place, elle reprit.

-Pour ce qui est du cri que vous avez entendu, vous n'avez pas rêvé. Miss Benson s'effraie d'un rien.

Elle lança un regard noir et perçant à la jeune fille avant de se plonger complètement dans l'eau puis de faire réapparition à la surface. Ses idées étaient plus clair ainsi. Mad lui parait prochainement l'affront qu'elle avait osé lui faire ici, ça c'était certain. C'était intolérable pour elle de ne pas réagir de suite face à elle. mais en tant que préfète, elle devait faire aussi attention à ce qu'elle faisait. Elle devrait être subtile dans sa vengeance si elle ne voulait pas avoir plus d'ennuis qu'elle en avait déjà. Puis essayant de penser à autre chose, elle se tourna de nouveau vers Florian.

-Vous passez vos BUSE l'année prochaine n'est ce pas? je vous souhaite un bon amusement car c'est véritablement un enfer sur terre ces examens.

L’explication de la vert et argent concernant son cousin le surpris légèrement. Il ignorait que la jeune femme espérait encore quelques chose de son ingrat de cousin ... Enfin les jeunes femmes était étranges ces temps si.

La jeune Poufsouffle semblait ne pas trop apprécier la compagnie de Bellatrix et inversement ... Enfin les filles s’était toujours aussi compliquer ... IL en avait le parfait exemple avec sa petite sœur ...

La serpentarde lui apprit que le cri qui avait été poussé venait de la bouche de l’autre demoiselle. Apparemment, vu la pique que venait de lançait la jeune femme aux longs cheveux noir ne semblait pas porter l’autre demoiselle dans son cœur. Toujours cette rivalité entre les maisons... Même lui éprouvait cela envers certains Griffondor

Ce qui surprit le jeune homme se fut lorsque la jolie black lui souhaita bonne chance pour ses BUSE de l’année prochaine ...
Elle était donc attentionnée

Il lui offrit un charmant sourire ... Il commençait à oublier Mad qui était resté dans son coin n ne prenant pas part à la discutions ...

-Je vous remercie de m’encourager ... Effectivement je passe mes BUSE l’année prochaine ... Mais je ne m’en fait pas trop pour ça ... j’ai encore le temps ...

Florian se détendait tranquillement dans l’eau... Plus loin dans la baignoire il vit des bulle sortir de l’eau ... Ce n’était pas banal même s’il était dans une école de sorcellerie ...

-c’est normal qu’il y ait des bulles là-bas ?

Il ne s’inquiétait pas plus que ça ... Un petit coup de baguette et la créature quelle qu’elle soit serait hors de nuisance ...

[Me revoilà... Désolée du retard!]

La Verte, qui l'était presque de rage, lui fit gentiment son numéro de dignité offensée, se félicitant de sa réputation. Elle énonça finalement les commentaires habituels des Serpentards à propos des Maisons. C'était si ridicule, si peu original que ça ne méritait pas de réponse. Rien d'autre qu'un regard moqueur, car tout de même, elle refusait de s'aplatir sans lui montrer ses sentiments à son égard. Au cas où elle n'aurait pas encore compris. Cette fille ne paraissait pas spécialement futée, mieux valait mettre les points sur les i, dès que départ.
Mad se tourna ensuite vers le nouvel arrivant. D'entrée, il ne lui plut pas trop. Elle n'aimait pas les Maraudeurs, d'ailleurs on se demande qui elle aimait, pas grand monde en vérité. Or donc, elle n'appréciait pas trop les Maraudeurs, mais les courbettes orales de ce Florian lorsqu'il évoquait la « souillure » du nom des Black, cela ne laissait pas paraître une âme bien intéressante. Mad songea avec un peu d'horreur à sa poussée de philanthropie. Non, le problème, tout compte fait, ne venait pas d'elle, il venait des autres. Que n'y avait-il donc au monde une âme à la fois intelligente, originale, et qui sache se détacher de tous les clichés, les lieux communs, les abominables conversations mondaines, les flatteries qui pourrissaient ce monde. Il n'existait pas, alors, cet esprit pur, le seul que Mad puisse tolérer, le seul qui soit digne de son respect ? C'était à désespérer. Comment voulez-vous admirer l'espèce humaine, c'est la vôtre tout de même, comment voulez-vous vivre, évoluer, parler, comment voulez-vous aimer ? L'homme est une telle espèce, une espèce qui s'enferme dans des façades ridicules plutôt que de se voir telle qu'elle est, plutôt que de remettre ses valeurs desséchées en question. L'homme est horrible, et haïssable, et ces deux-là, la prétentieuse irréfléchie et le flatteur aveugle, formaient devant les yeux de Mad un ensemble difficile à supporter, tandis qu'ils conversaient. Elle, toujours assise au bord de l'eau, levait le regard dans l'eau, et dans ses yeux on pouvait lire un peu d'effroi. Cette inconscience monumentale lui désigna comme une évidence le gros problème que posait la condition humaine, la question qui régissait sa vie, et qui avait dirigé les pensées de l'humanité entière avant qu'elle ne se laisse aveugler par ce monde de lumières diaphanes et indistinctes. Qu'est-ce que l'homme fait sur terre, hein? Finalement, c'est ça, le gros problème? Qu'est-ce qu'on fout là, tous, les beaux, les méchants, les borgnes et les malins, qu'est-ce qui doit animer et guider nos vies? Y a-t-il un salut, y a-t-il un progrès quelconque possible ? Pourquoi les dieux, qu'on invente, ne savent-ils pas répondre ? Mais y a-t-il seulement une réponse ? Non, et c'est là le problème. Mais voilà qu'elle s'égarait. Oh, ses deux vis-à-vus s'amusaient bien sans elle, il n'y avat pas de souci à se faire. Cependant, elle tendit un peu l'oreille. Il ne fallait pas non plus qu'elle les laisse dire n'importe quoi ! Ils en étaient toujours aux BUSE, et Koliria faisait des courbettes à l'autre Bellatre... Puis, regardant autour de lui, il demanda ce que cela pouvait être. Mad, d'une voix rauque, répondit simplement :

- Ca doit être la même bête... Il a eu très peur en voyant la tête de la Black, il risque de rester caché un bon moment.

Elle observa un instant les quelques remous à la surface, et s'enferma à nouveau dans son silence, ignorant délibérément les autres protagonistes, et en particulier la gamine en vert. Elle sourit intérieurement de son comportement. C'était tout à fait puéril, mais ça l'amusait.
Elle remit prudemment un pied dans l'eau, puis entra totalement, et nagea un peu. L'eau était bonne, c'était plutôt agréable. Soudainement, ce fut comme un coup de folie. Elle se trouva percée par une migraine atroce, et elle en eut insuportablement marre de la présence de ces écervelés. Ils la trouveraient folle, sans doute, et ils partiraient. Cela importait peu. En tous les cas, elle remonta sur le bord, et prit la parole, d'une voix qui devenait de mot en mot pus aggressive, plus excitée, plus hachée.

- Et vous croyez que c'est ça, qu'il faut faire ? Se baigner, et discuter bêtement, avec des inconnus, de n'importe quoi, se plier ne quatre pour obtenir ses faveurs? Vous réfléchissez, parfois ? Vous vous rendez compte de ce que vous dites ? Les homme sont pitoyables, et vous êtes exactement comme eux, et pire encore parce que vous refusez de vous en rendre compte ! Vous chantez, vous roucoulez, vous faites la roue comme des paons, et bientôt vous vous accoupleriez comme des bêtes ! Mais bon sang, est-ce que vous ouvrirez les yeux ? Est-ce qu'il fait beau, hein, est-ce que vous croyez que le ciel est bleu, tout de suite ? On s'en fout, hein? Imaginez, un filet de sang qui coule d'une pierre, hein, qu'est-ce que vous en diriez ? Ca vous ferait taire, je le sais. Ca serait horrible, et ça serait beau ! Vous, vous tous, vous êtes moches, finalement, si nobles que vous soyez, tous des rustres, des cuisiniers du langage, et c'est incroyable de voir ce que votre fierté cache de servitude ! Vous voulez être heureux, vous voulez être vus, vous voulez être aimés. Comme tout le monde ! Et vous haïssez, bien sûr, alors que la question, elle n'est pas dans l'amour, ou dans la haine, la seule question, c'est la liberté ! La liberté, et ce que vous êtes prêts à faire pour l'obtenir ! Tous, vous êtes asservis à vos coutumes ! Vous êtes écoeurants! Ce qu'il faudrait, ce serait de tous vous faire tuer!

Alors elle prit un visage un peu étrange, absent, et émit un sifflement bizarre, qui gonfla, qui prit de l'ampleur, jusqu'à résonner, assourdissant et horrible, dans toute la pièce et qui finalement, brusquement, s'arrêta. C'était fini. Une crise, en somme, qui la laissa immobile au bord de l'eau, le syeux à demi fermés. Elle espérait qu'ils partiraient.

Bellatrix parvenait finalement à profiter du moment présent, même si l'envis d'étrangler Mad lui trotait toujours dans la ête. Ce serait marent après tout de la voir agoniser là, maintenant, sans que personne ne puisse y faire quoi que ce soit. Mais bon, elle était encore trop jeune pour se laisser aller à de telle tentation, la prison ce n'était vraiment pas pour elle. Retrouvant son sourire qui lui était si rare, elle se tourna alors de nouveau vers Florian. De toute manière Miss Benson semblait être complètement à l'ouest. Normal vu sa condition. cette pensée failli la faire rire mais elle parvint à se reprendre à temps et décidé de répondre au jeune homme.

-Ce n'est pas moi qui vous dirais le contraire. Il est préférable de s'amuser tant que en a encore l'occasion. Et puis, ce ne sont que des examens, la vie ne s'arrête pas à cela.

Le fond gauche de la baignoire continuait à bouilloner avec agitation. la créature devait toujours être là a prmeière vu. C'est alors que Mad en profita pour revenir à la surface et lancée un sarcasme digne d'un serpentard. Bella lui jeta un regard de biai, légèrement amusé et finit par lui répondre indirectement.

-Mais c'est tout a fait normal. Lui au moins asu reconnaître la supériorité que j'incarne à son égard.

Non mais vraiment pour qui elle se prenait celle là. C'était vraiment intolérable de voir comment elle osait défier Bella, si respectée dans ce château. Bon d'accord, elle était plus crainte que réellement respécté, mais au moins, elle avait du pouvoir en ce château. Elle pouvait développer avec aisance tout ses sens de prédatrice. Elle en voulait aussi à sa condisciple de vouloir a tout prit mettre mal à l'aise les autres. Ca, c'était plutôt son rôle à elle, de toute manière, Bella était vriament beaucoup plus douée dans ce domaine que cette pimbêche. Bella étendit se sbras de part et d'autre du bord: c'ets à ce moment précis que Miss benson fut prise d'une rise d'une démence, rarement vu de mémoire de Black. Bella ne pu que la regarder avec stupefection. Ca y est, elle avait véritablement pété le splombs cette fois-ci. Elle jeta un regard interrogateur à Florian. Puis elle se retourna vers la jeune fille quand elle eu finit son monologue.

-Ca y est tu a fini, ou tu veux qu'on t'emmène en prime à l'hôpital psychiatrique du coin?

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